Pour ce temps d'anniversaire des apparitions de Lourdes, je me dois de vous rappeler les dernières paroles de Sainte Bernadette sur son lit de mort : "Ce qu'on écrira de plus simple sera le meilleur. A force de vouloir fleurir les choses, on les dénature".
"Au confessionnal le 13 février 1858. Dans la soirée du samedi, pourtant Bernadette entre au confessionnal dans l'église toute proche. Dans la pénombre, l'Abbé Pomian achève les confessions du samedi soir. Et voici qu'en ouvrant le guichet sur l'avant-dernière pénitente, il reçoit de plein fouet cette étrange confession en patois : "j'ai vu quelque chose de blanc ayant la forme d'une dame". Il laisse parler l'enfant sans manifester d'intérêt, s'étonne de la cohérence des propos. Un trait surtout l'a frappé : "Coumo u cop de bén" (comme un coup de vent). Il pense au "coup de vent" de la Pentecôte, selon les Actes des Apôtres, chapitre 2. Où cette enfant a-t-elle pris cette conviction et ces mots qui la dépassent ? Toutefois, il n'attache pas d'importance à cette confidence; il attribuera plus tard à une "motion de Dieu" l'idée qui lui vient de dire à Bernadette "puis je en parler à M. Le Curé ?". Bernadette acquiesce, toute étonnée de cette déférence.
Le soir même, le confesseur rencontre l'abbé Peyramale sur la route d'Argelès, il lui fait part de cette affaire mineure, en deux mots : Il faut attendre, dit seulement le curé. Et il passe à un autre sujet." Extrait de la biographie de l'Abbé René Laurentin.
N'oubliez pas entre le 11, 14 et 18 février de faire des chapelets. (Moi, j'suis hors tard...)
mercredi 13 février 2008
Le 150e anniversaire des apparitions à Lourdes
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150e ANNIVERSAIRE DES APPARITIONS DE LOURDES
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